Park Min Jo
AGE : 34
| Sujet: Park Min Jo [terminé!] Lun 31 Oct - 10:09 | |
| PARK Min Ho | Avatar Park Jae Hyeon Nom Park Prénom Min Jo Age 22 ans Jour de naissance 13 mars Origine ethnique Coréenne Profession Héritier d'une grande firme de vêtements Groupe Eater
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Pseudo Jun Age 21 ans Parrainage ? Nop Points forts du forum ? Design et style de rp ! Points faibles du forum ? Le système de point ??? >< Une suggestion ? aucune pour le moment Un dernier mot ? J'aime les fraises |
On fait le bilan sur ...
Ton parcours scolaire/professionnel Je pourrais en faire des éloges pendant mes heures de temps libre si on me le demandait. Mon parcours scolaire a été excellent, je faisais partis de ces élèves au tempérament sérieux, toujours en tête de classe. Et lorsque quelqu'un cherchait à me détrôner, j'en faisais tout une histoire. Si je devais vous ressortir mes photos de classe, vous rirez du stéréotype. J'avais des lunettes, et quelques boutons ; je n'étais pas de ceux qui crouler sous la popularité. Travailleur et sérieux, voilà ce que l'on retenait de moi. Ma myopie m'a donné un sacré handicape, mais j'vis très bien avec. Maintenant je porte des lentilles, j'ai hérité bien trop tôt de l'entreprise de mon père. Mon parcours professionnel est plus qu’archaïque. Je gère sans gérer, et mon grand-père n'est franchement pas du genre à me soutenir. Tout c'qu'il sait me dire, c'est des reproches et entre autre des troues budgétaires qu'occasionnellement je fais sans vraiment le vouloir. À 22 ans, je ne suis pas vraiment apte d'être chef d'entreprise, j'ai la stature et l'allure, mais cela ne suffira sans doute pas à la longue. Ta santé J'ai faillis mourir d'une grippe à l'âge de cinq ans, mais je suis toujours là. Les médecins sont parvenus à me faire remonter la pente. Sinon, maintenant, je me porte comme un charme. Je ne suis pas de constitution fragile, et je tiens parfaitement debout. Ta vie de famille Les repas de famille, c'est bien ce qui me serre la gorge le plus. Bons cousins et frères. Je n'ai pas de sœurs, ni de cousines. La plupart ont succombé au virus. Malgré mon nouveau statut, je ne suis pas aussi bien respecté que je l'aurais voulu. Je ne récolte que reproches et regards froids. Comme si on n'attendait pas grand chose de moi. Mon petit frère arrive même à me dire que si l'entreprise tombe, se sera sans doute de ma faute. Mais c'est encore bien tôt pour dire ce genre de chose, je ne suis qu'à mes débuts, peut être bien que je m'acclimaterais assez vite à ma nouvelle vie et que je m'en sortirais. Ce n'est pas parce qu'on avait un parcours scolaire brillant qu'automatiquement, lorsqu'on vous lance sur le marché du travail, vous faites partis des meilleurs. Mon père était sans doute le seul à me soutenir avant sa mort. Maintenant je me sens bien seul, et j'ai tendance à faire passer ma mauvaise humeur sur tout ce qui bouge. Ton réseau d'amis Lequel ? J'aimerais bien savoir. Disons que mon réseau amical ne s'étend pas très loin. J'ai énormément de contact dans le milieu du travail. Mais malheureusement, cela ne va rarement loin. Je n'ai pas de meilleur ami, je sors la plupart du temps avec des connaissances. Tout ceci est bien compliqué. Bien sur, il y en a bien un ou deux sur lesquels je peux compter, je ne suis pas complètement asocial. Or, certains finissent bien souvent par lâcher l'affaire avec moi. Tes expériences amoureuses À coté, mes liens familiaux font pâles figures. On ne reste jamais longtemps avec moi. Je suis partout et nul par à la fois. Vous ne me verrez pas souvent, j'ai toujours le nez dans mes affaires. Je n'ai jamais eu aucune relation longue, j'ai toujours tout fait pour les couper court. Les rares personnes avec qui je suis resté assez longtemps pour qualifié cela comme relation, j'ai fini par les faire fuir. Je suis conscient du mal que je peux faire, je ne le fais pas forcément avec le sourire. Mais ce qui peut bien me faire le plus peur, c'est de tenir une relation sur le droit chemin. Quand je vois comment dérive le monde, j'en serais forcément incapable. |
Que dirait de toi ...
Un ami proche Complètement buté. C'est bien les deux premiers mots qui sortiraient de la bouche d'un de mes amis proches. Je fonce tout droit, je blesse, je dis ce que je pense, je me lâche. J'ai beau savoir garder un secret, j'ai la langue tellement pendu, qu'il pourrait m'échapper un jour. Je suis un peu comme la nuit et le jour, je peux déprimer un jour, comme avoir le sourire un autre jour. Ce serait sans doute les traits négatifs qui ressortiraient le plus, alors que les points positifs pourraient être tout aussi nombreux. Je suis vif et intelligent, certains diraient que je suis assez énigmatique. Il m'arrive souvent bourrer d'être collant et câlins, tout le contraire lorsque je suis sobre. Le fait que je sois distant avec mes amis proches les poussent parfois à couper les ponts avec moi. Certains disent aussi que j'explose facilement. Et ils n'ont pas tout à fait tord. J'étais pas comme ça avant de rentrer trop tôt dans le monde du travail. Un ex petit ami Que je suis un parfait salaud. Tout simplement. Rare sont ceux qui ont vécu plus de bons moments avec moi que de mauvais. Les rendez-vous, je les loupe parfois exprès. J'arrive souvent en retard. Mes cadeaux sont rares, et je n'attends pas grand chose en retour. Je me lasse vite, et l'air blasé que je prenais avec eux les pousse à la colère. Un ennemi Que je suis détestable, insupportable. Un vrai fils à papa. Je suis hautain comme pas deux, l'apparence compte plus pour moi que toute cette fourmilière. Ma franchise donne parfois envi de gerber, et je juge les gens d'un premier coup d’œil. Tes parents Que je ne tiendrais jamais le flambeau familiale droit. Que j'arriverais facilement à faire crouler la famille sous les dettes si je ne me reprend pas. Ils ne me font absolument pas confiance malgré le parcours scolaire parfait que j'avais. Mon grand père est le premier à me noyer sous les reproches. Un inconnu Que je suis quelqu'un d'hautain, qu'on ose pas approche par peur de se briser deux doigts. Mon regard froid et glacial ne leur donne pas envi de m'approcher de trop près. |
Les hommes & toi c'est un méli-mélo de nœud impossible à dissocier. C'est aussi une caverne dont je ne vois pas le fond. Et je ne veux rien voir, rien entendre. J'ai une peur bleue qu'un homme me touche, pourtant je ne me suis jamais fait violer où quoique se soit d'autres. Disons que je ne veux pas tenter l'expérience. J'ai beau ne pas être homophobe et être attirer par certains, j'évite tout contact rapprocher avec eux. Le dernier gars qui a essayé de me toucher s'est retrouvé avec un couteau contre la jugulaire. Le mieux, c'est qu'aucun ne tente quelque chose avec moi. Mais, cela reste compliquer.
Les femmes & toi c'est un peu d'amour et beaucoup de sexe. Les filles sont des bijoux rares, et quand on en choppe une, il vaut mieux la garder. Dirait-on. Je préfère largement profiter de toutes que d'une seule, même si elles sont des espèces en voie de disparition. Je suis cruel et méprisable avec elle ? Je n'arrive pas à m'attacher longtemps à elle, et pourtant, je les désire toutes. Elles sont de véritables aimants et pourtant, je leur fais du mal. La violence dans mes mots et dans mes gestes envers elle sont quand même une grande satisfaction pour moi. Il n'y en a pas eu une seule que je n'ai pas eu envi de faire souffrir... et que j'ai eu envi de protéger au moins une fois dans ma vie. Ce n'est pas de la haine, disons plutôt que je m'en sers comme calmant. C'est mal, très mal. THE PINK BOX - Je suis client THE MIDNIGHT PLEASURE - Je ne fréquente pas cet endroit |
Test RP
- Spoiler:
C'était comme si la petite étincelle avait repris un peu de vie. La mélancolie s'était envolée vers un ciel plus sombre sans doute. Il ne m'avait fallu qu'une fraction de seconde pour réagir. Et tant j'étais heureuse, je ne me rendis pas compte que mon engouement pouvait générer quelques interrogations. Après tout cela, tous ces évènements qui m'avaient mené jusqu'au magasin, aurais-je dû agir autrement ? C'est dans ces yeux là que je vis de la tristesse, je fus désarçonné par son regard pendant quelques secondes. Peut être une minute. Je ne le savais pas. Le temps ne m'importait plus depuis quelques années déjà. Toujours est-il que je ne comprenais pas cet air si douloureux. Elles envahirent mon esprit, ces questions maladroites et désagréables, je ne pouvais les chasser, elles commençaient à se poser sur chacun de ces filaments, s'imprégnant dans mon cortex cérébrale. Le contaminant de questions que je ne voulais me poser. Je ne voulais pas tomber dans ce cercle vicieux, je ne voulais pas me rendre malade à ressasser le passé. Oui, tout ceci était la faute à pas de chance, et encore oui, j'étais peut être idiote de ne pas avoir peur de lui après ce qui s'était produit entre mon ancien maître et lui. Mais voilà, je suis une idiote qui ne peut pas en vouloir à ceux qui ont agis en conséquence. Regardez de plus près... analysez, réfléchissez. Si chaque fois qu'on tombait dans l'ombre on devait en vouloir aux gens, on n'en finirait plus. Je fonctionnais ainsi, je ne pouvais pas en vouloir à ceux que j'aimais. Et même à ceux que je haïssais... Je préférais largement enfermer ces pensées, réfléchir autrement, marcher à un autre rythme. Y avait-il vraiment du mal là-dedans. Je ne me voilais pas la face. Aucunement. Je me souvenais distinctement de ce qui s'était produit, dans les moindres détails. La douleur qui avait naquis sur le visage d'Antonio, ces rides hideux qui étaient apparus sur ce visage autrefois jeune, et ce rictus affreux qui fermait ces lèvres. Oui, tout cela m'avait fait peur au point que je n'avais perdu une miette du spectacle. J'étais un ange, mais je pouvais être monstrueuse parfois. Cela aurait si simple d'oublier ce visage horrible. Heikki, il était l'entrepreneur de cette douleur, mais je le connaissais assez pour savoir que cela n'avait pas été intentionnel. Et d'après vous, je devrais lui en vouloir ? Que d'idioties. Je le sais, qu'il voulait seulement me protéger de cette main puissante. Peut être qu'Antonio ne voulait pas vraiment me frapper, mais seulement me faire peur. Après tout, il ne m'avait jamais vraiment violenté. Je ne faisais pas encore partis de ces esclaves marqués de plaies et de cicatrices rougeoyantes. Je ne savais si j'étais réellement chanceuse... Mais je n'allais pas m'arrêter sur cet évènement, je n'allais pas arrêter toute communication avec celui qui m'aider à respirer un air pur et frais. Je ne me rendais peut être pas encore compte, mais il m'était indispensable. Sans lui je manquerais d'air, de souffle. Ce qui était vital. Je n'étais pas aussi forte que je voulais le faire croire, j'avais beaucoup de failles et de faiblesses, et sans cette rencontre, je serais peut être enfermée dans la chambre d'Antonio à attendre que mes jours trépassent.
Mais. Toujours cette tristesse. Je ne parvenais à voir que cela dans ses yeux, et malgré ma capacité à comprendre les émotions d'autrui... il y avait quelque chose que je n'arrivais pas à voir dans ce regard. La bouche à semi-ouverte, je m'étais figée à quelques mètres de lui, laissant son prénom glisser sur mes lèvres alors qu'il m'appelait à son tour. Sa voix me sembla si lointaine, que je cru qu'il allait s'éloigner de moi si vite que je ne pourrais le rattraper. Pourquoi je ne comprenais pas sa réaction ? À quoi pensait-il donc ? À ce qui s'était passé quelques semaines auparavant ? Cela devait être la principale source de son conflit intérieur, cela dit, il y avait encore autre chose. Mais je ne saurais discerner quoi.
Un contact. Le tissu contre ma peau me réveillait et me rassurait, pourtant, je voyais toujours cette même tristesse. Et cette voix empreinte de douleur qui laissait glisser des excuses que je ne voulais pas attendre. Je croisais son regard, je le laissais parler sans prononcer un mot. Alors que j'entrouvrais les lèvres, je me sentais aller en avant. Son étreinte était comme un baume, cela me suffisait, il n'avait guère besoin de s'excuser. Alors, pourquoi le faisait-il ? Les questions que je m'étais posée, avaient quitter mon esprit. Je fermais les yeux, je savourais ses paroles alors que je répondais dans un murmure :
« Ne t'excuses pas Heikki. Tu sais bien que je ne t'en voudrais pas... Que je comprends pourquoi tu as agis de la sorte... Alors. Ne te tourmente pas. »
Je voulais que mes mots le touche et le réveille de sa léthargie, je n'aimais pas le voir ainsi. Je sentais comme mon cœur se serrer mais ne voulait pas m'en préoccuper. Je devais faire abstraction de tout sentiment négatif qui pourrait nous nuire, je n'étais pas énervée loin de là, mais je ne voulais pas qu'il me transmette cette tristesse. Et je ne voulais pas qu'il la garde dissimuler en lui. Après tout ce qui s'était passé, c'était peut être normal toute cette confusion. Or, je ne pouvais me résoudre à le comprendre, je préférais de loin avancer sans regarder en arrière. Garder ces souvenirs, et mieux grandir avec. C'était idéaliste, mais ça permettait à ceux qui y croyait de vivre avec le sourire sans avoir à occuper son esprit de tous un tas de problèmes qui entraveraient beaucoup de choses. Mes bras entouraient la taille de l'homme alors que je poursuivais de ma voix posée :
« Même si nous n'avions eu que très peu de temps pour en parler avant que je retourne dans ces geôles, tu sais très bien ce que j'en pense. Et je comprends, je comprends ta crainte qui t'as poussé à ne pas venir me voir dans ces caves. Mais devrais-je te le dire encore une fois ? Tu es l'ange gardien qui veille sur moi. Jamais je ne me permettrais de te juger seulement sur tes actes, tu le sais. Alors... »
Idyllique. J'avais l'air pompeuse, innocente, naïve, pathétique, puérile ? Il est dommage que je sois sourde à vos négations... Contrairement à ces beaux films romanesques, où toutes les phrases semblent être prononcées sans méthode : entre la réalité de ce que je dis, et ces inventions, il y a un gouffre. Mes propos ont peut être l'air trop onéreux, mais ils sont simplement le reflet de ma pensée. Ils n'ont rien de stupides déclarations de gamine effarouchée. La tête posée sur son torse, je restais silencieuse pendant un court instant. Ma petite taille ne me permettait pas de poser ma tête sur son épaule, bien que cela aurait été ce que j'aurais aimé faire.
« Mets cela de coté. »
En y repensant, peut être que cela le vexerait que je le nomme comme mon ange gardien... Mais là où mon esprit venait de partir, cela n'avait plus une espèce d'importance. À quoi bon, même s'il pensait être inhumain et monstrueux, il était loin d'être comme ceux qui torturaient ces gens. Il était l'espérance que les vampires soient meilleures. Mais là, c'était une utopie. Heikki était précieux et rare, c'était sans doute pour cette raison que je me sentais si proche de lui, cette humanité qu'il émanait été douce et rassurante. Toujours ces deux même mots qui effleurent mes pensées...
« Tu m'as beaucoup manqué... »
À qui donc pensais-je au fond de ma cellule ? Est-ce une évidence que je n'ai pas besoin de le citer ? Alors qu'un sourire étirait mes lèvres, une fois encore, j'attendais que sa voix me murmure encore ces mots apaisants.
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Dernière édition par Park Min Jo le Lun 31 Oct - 13:28, édité 5 fois |
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