Park Min Hyo
AGE : 30
| Sujet: Park Min Hyo ☆ Humanity Lover ~! Mar 25 Oct - 17:23 | |
| PARK MIN HYO | Avatar G-Dragon (Big Bang). Nom Park. Prénom Min Hyo. Age 22 ans. Jour de naissance 1er Mai. Origine ethnique Sud-Coréen – Chinois. Profession Officiellement chômeur en réalité informateur. Groupe Eaters.
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Pseudo Domichi. Age 18 ans et toutes mes dents ! Parrainage ? Natia la grande corruptrice à encore frappé (;___;) ! Points forts du forum ? Il est génial ? Et ce design >(*o*)< ! Points faibles du forum ? Hum… Un léger bug dans le codage de la page d'accueil sur mon ordi. Une suggestion ? Un petit dessous de table en points ? Non ? Bah au moins j’aurais essayé… Un dernier mot ? Je suis facilement corruptible et j’assume ! Ou pas… |
On fait le bilan sur ...
Ton parcours scolaire/professionnel Park Min Hyo, 22ans, père célibataire, n’a jamais eu l’occasion de faire d’études supérieures en raison de sa situation familiale, s’est donc arrêté au lycée, actuellement chômeur. Voilà à peut près ce qu’il y aurait d’écrit sur mon CV officiel, si je cherchais à en faire un, si je cherchais un travail tout cours en fait. Aussi surprenant que cela puisse paraître, bien qu’assistant peu au cours et séchant la majorité du temps, mes professeurs disent de moi que j’étais un géni tel qu’on en voyait rarement et beaucoup s’accordent à dire que si je n’avais pas eu le malheur d’enfanter si jeune ainsi que de perdre mon père dans le même temps, je serais sans doute devenu un homme très influent dans le futur, quelque soit le domaine choisit. Et ils ne se trompent pas puisque le jeune homme que je suis est en effet l’un des hommes les plus importants du pays au jour d’aujourd’hui. Et je ne dis pas ça pour me venter. Oh, certes mon visage ne s’affiche pas sur tous les spots publicitaires, mon nom ne fait pas hurler les foules en délire, il n’anime pas non plus les soirée mondaine, cependant il fait frémir la plupart des gens haut placés de Corée, parfois même plus… Min Hyo, moi donc, sait tout, même les secrets les plus dangereux que chacun cache au fond d’un coffre fort ultra sécurisé. Rien ne lui échappe et s’attirer ses foudres peut se révéler au choix suicidaire, ou suicidaire. Je vends les informations que je possède plus pour mon propre amusement que par soucis de servir mon prochain. En fait j’adore voir les gens s’entre déchirer, c’est mon passe temps favoris, aussi je n’hésite pas à manipuler mes clients grâce à mon savoir. On ne va pas chipoter si j’omet une ou deux informations sur le moment et ne les révèle qu’une fois le mal fait. Je leur fais déjà un sacré prix d’ami ! La connaissance est la clef du pouvoir, je suis le mastermind, vous êtes ses pions, aucune réclamation possible, les remboursements se font dans les conditions indiquées en bas à droite du paragraphe 12, alinéa 2, police 8. A mes heures perdues je joue aussi le rôle d’intermédiaire entre les différents marchand de femmes, bien que dans un même temps je fournisse des planques à ces dernières, finance les club privé de prostitution et joue les médecins clandestin en m’appuyant sur les connaissances reçut de mon paternel.
Ta santé D’un point de vue psychologique, dire que ma situation n’est pas au beau fixe est euphémisme… Disons le : Je suis peut être un chouille fou. Ou en tout cas ça s’en rapproche… Bon ok, je suis complétement taré, imbus de moi-même, etc… Content ?! Mais ça ne relève pas du tout d’une maladie quelconque, j’ai juste une drôle de manière de voir le monde. J’aime les humains, je les adore, et j’aime aussi beaucoup la vue du sang et les guerre, ça profite au commerce c’est tout… En revanche il est vrai que je suis malade. La vérité c’est que je ne suis certes pas schizophrène mais souffre de la maladie d’hystérie, une maladie neuronale qui touche habituellement les femmes à la suite d’un événement traumatisant. Outre ma santé mentale « légèrement » défaillante, qui s’explique tout à fait quand on connaît son passé, j’aimerais quand même souligner, il n’y a pas de problème majeur.
Ta vie de famille On a toujours plus ou moins de problèmes familiaux. Dans mon cas on tend plutôt, pour ne pas dire carrément, vers le ‘plus’ que le ‘moins’… Mes parents étaient au début le petit couple idéal et parfait, ils avaient formé une belle famille dans les règle de l’art coréen, lui médecin de renom à Seoul, elle mère au foyer, trois enfants : moi l’aîné, Mi Nyu et Mi Nam les deux jumelles, un chien et une belle maison… Le parfait petit monde des bisounours. Ainsi jusqu’à mes six ans on peut aisément dire que le garçon que j’étais a eu une vie de rêve, totalement banale. Cependant le rêve à vite fait de tourner au cauchemard, ma mère contractant la maladie alors qu’elle attendait un quatrième enfant, elle fini par faire un fausse couche, dès lors mon père a développé un profond dégout pour son épouse. Il sombrera dans l’alcool, perdra son emploi, ruinera la famille dans les bordels et, persuadé de retrouver une vie normal s’il parvenait à trouver le remède du cancer, en arrivera au point de non retour en pratiquant des expériences sur sa propre femme, le tout sans anesthésie, trop chère… Estimant que son fils doit lui aussi devenir médecin, il me fera même participer à certaines des opérations, (vous comprenez maintenant que je sois instable ?). Finalement les corps des parents Park seront retrouvés enlacés et calcinés après un incendie. Aujourd’hui je suis papa d’une petite fille âgée de six ans, un enfant accidentelle que j’aime malgré tout énormément et dont je m’occupe seul puisque la mère est morte. C’est la prunelle de ses yeux, sérieusement elle est trop mignonne ! Vous voulez voir sa photo ? Si, si j’insiste ! En revanche gare à ceux qui me proposerons de l’acheter, mon trésor on n’y touche pas ! Ce n’est pas de la monnaie, c’est la chaire de ma chair. J’entretiens une relation somme toute neutre avec mes sœurs, l’une d’elle étant atteinte de la maladie, je les aide malgré tout dès que le besoin se fait sentir.
Ton réseau d'amis Qué qué çé ? Hum… Ami. Un terme bien abstrait pour moi je l’avoue. Disons que mon meilleur ami est du genre à me raccrocher au nez alors que je suis à l’hôpital pour tout vous dire. La vérité c’est que je n’aime pas la solitude, j’aime l’humanité dans son entier, on pourrait donc dire que je suis l’ami de tous les humains mais personne ne semble vouloir me retourner la pareille… Du coup je ne peux pas m’empêcher d’être jaloux de ceux qui ont des amis, sauf qu’après il me déteste encore plus. Selon les quelques proches que je possède je suis bien trop hypocrite et manipulateur pour être aimé. Je ne vois pas vraiment où est le problème… Qu’il est dur d’être moi. En revanche je chéri énormément ceux qui m’entoure, même si ma manière de le faire n’est pas aussi expressive dans la réalité que par écrit. Je les aime, je les adore !
Tes expériences amoureuses Je n’ai eu qu’un amour et il ne s’agissait ni de mon pays, ni de Paris… Elle s’appelait Park Ae Ra, j’avais quatorze ans et elle avait trois ans de plus que moi. Ca vous choque ? Franchement, les femmes sont tellement rares, on ne va pas chipoter sur des détails insignifiants. Notre relation à durée deux ans, pour l’enfant que j’étais encore elle représentait la mère qu’on m’avait prise, avec elle j’oubliais… Son étreinte était réconfortante et je m’y laissais bercer volontiers. Mon amour pour elle était peut-être ambigu, mais je l’ai toujours protégée de tout, c’était l’essentiel. Un jour elle m’annonça être enceinte, ce qu’elle ne me dira jamais fut le fait qu’elle avait contracté la maladie, je ne l’apprit qu’en la voyant sur son lit de mort peu après l’accouchement, ma fille pleurant dans mes bras. Je n’ai jamais su si elle avait comprit qu’elle ne reverrait plus jamais la femme qui l’avait porté pendant neuf mois. Depuis je crois qu’il m’est à présent d’aimer une nouvelle fois une femme. Ae Ra est bien trop présente dans mon esprit encore pour ça. De toute façon je crois que j’aime autant la peau douce et féminine que les muscle masculin, même si je me refuse à l'admettre. Aimer un homme c'est trahir la femme qui a porté mon enfant, trahir ma fille et trahir mes conviction. Me parler d’amour me fait plus rire qu’autre chose, encore plus avec "un" plutôt qu'"une". J’aime la mère de mon enfant mais elle est morte, un jour peut-être que quelqu’un saura l’effacer de ma mémoire. Peut-être. |
Que dirait de toi ...
Un ami proche "Putain qu'il est chiant ! Mais le pire c'est que c'est ça qu'on aime chez lui" Il dirait certainement que je suis un grand enfant, immature, hypocrite mesquin, etc... Mais qu'au fond lorsqu'il s'agit d'être sérieux, notamment avec ma fille, je suis exemplaire. Et puis même si ça leur arracherais la bouche de le dire ils me trouvent attachant en un sens, même si parfois ma maladie les met mal à l'aise.
Un ex petit ami "C'est un homme extra...Parfois...Enfin non pas vraiment" Parmi toutes mes relation je n'en ai aimé qu'une, je pense que celle-ci vous direz que je suis le petit ami parfait : attentionné, doux et ayant toujours besoin de contacte et de réconfort. Mais les autres s'accorderont à dire que je fais pas attention à mes conquêtes, je prend, je piétine et je m'en vais. Ce n'est pas que je veux leur faire du mal, j'essaie vraiment de les aimer, mais je n'y arrive pas. Et elles finissent par craquer et partir. Toutes mes ex vous le dirons, je suis un incapable des sentiments...
Un ennemi "Ce type n'est qu'un pauvre con... Mais je ne peux pas le dire, il sait trop de choses." Je pense ne pas me tromper en disant que si un jour un de mes nombreux ennemi venait à se prononcer sur mon sujet il affirmerait que je suis un psychopathe dangereux qui aime foutre les gens dans la merde, un sadique pervers, un menteur, une tête à claque, etc... C'est pas faux...
Tes parents"Ne m'en parlez pas merci !" Mes parents étant mort je n'en sais trop rien, en revanche mes soeur son assez mitigée sur le sujet, autant l'une est toujours ravie de me voir, autant l'autre ne l'est que si je sort le porte monnaie... Mais je pense que les deux s'accorderaient à dire que je suis un cas social dont il ne vaut mieux pas parler. On sait jamais ça pourrait être contagieux.
Un inconnu "Hum... J'ai entendu des rumeurs sur lui. Il vaut mieux ne pas s'en approcher" ma réputation me précède, même un inconnu se méfie de mi. Ce qu'il dirait en revanche je l'ignore. Sans doute que je parait assez attirant avec mon physique et ma prestance, mais que vu les bruit qui coure sur mon sujet il vaudrait mieux rester à l'écart. |
Les hommes & toi c'est "Un désir qui devient obsession" Après la mort d'Ae Ra j'avais surtout entretenu des relation avec des femmes, jamais il ne m'était venu à l'esprit que je puisse vouloir d'un homme. Je n'ai rien contre l'homosexualité, c'est monnaie courante de nos jours, mais pas pour moi. Non ! Hors de question ! Je ne peux pas, j'aime le corps féminin point. Enfin c'est ce que j'aimerais dire... Mais un jour je me suis rendu dans un de ces club gay pour affaire, ça a causé ma perte. Je suis resté subjugué par ces corps dansant devant moi. Depuis je ne peux plus m'empêcher de me rendre dans ces établissement, je ne fais que regarder, c'est déjà beaucoup plus que ma fierté ne peut accepter, mais il y a en moi une envie qui gronde de plus en plus... Et je n'arrive plus à savoir si je dois ou non la libérer.
Les femmes & toi c'est "Un respect mutuel" Je suis incapable d'aimer une femme à nouveau, j'en ai conscience, et mon intérêt pour les hommes me conforte dans cette certitude. J'ai aimé une femme et je lui ai donné tout l'amour que je possédais pour sa gente. En revanche il n'empêche que j'ai un fort respect pour elles, je ne peux m'empêcher de penser à ma mère, mes soeur, Ae Ra et surtout ma fille. Il est vrai qu'une grande partie de mon business repose sur elle, que je vend des information aux maison close pour qu'elles puissent les acheter ou les vendre, mais je crois que c'est la seule partie de mon boulot que je fais sans conviction. Je les admire pour leur prestance, leur courage et leur volonté, dans leur condition ce n'est pas facile. Si j'avais été médecin je me serais sans doute battu pour les soigner.
THE PINK BOX - Je suis en quelque sorte employé free-lance, même si je préférerais le terme d'associé. Je leur vend à l'occasion des infos intéressante concernant le marché féminin, les nouveauté fraichement arrivée, etc... Je soigne aussi les fille qui n'ont pas la possibilité de voir un vrai médecin ou un chirurgien, ma porte leur est toujours ouverte, je le fait de bonne grâce. Je me refuse à y aller en tant que client en revanche, si je veux une fille mon charme naturel suffit, je sais où les trouver, inutile d'aller dans ce genre de clos pourrit.
THE MIDNIGHT PLEASURE - Je suis client, bien que je me refuse à l'avouer. Je ne touche jamais la marchandise et ne suis monté dans une chambre qu'une seule fois, pour soigner un de leur gars, événement qui causa mon trouble quant à ma sexualité. J'officie parfois en tant que médecin pour les employés qui n'ont pas les moyens d'aller à l'hôpital, ou bien quand les personnes impliquées sont trop éminentes pour appeler des outsider sans risquer le scandale... |
Exprime toi
★ Papa d'une petite fille de 6ans prénommée Park Min Mi. ★ Bien que la police ai conclu à un suicide, J'ai en réalité tué mon père avant d'incendier la maison, seule mes soeur son au courant. ★ Mon auteur favoris est Oscar Wilde. ★ Ma citation favorite : "Dieu ? On peut demander à l'homme de croire à l'impossible mais non à l'improbable" Oscar Wilde, le portrait de Dorian Grey. ★ Je suis dingue des chien, j'en ai plusieurs. ★ Je déteste la nourriture en boite, pour un gourmet comme moi c'est un sacrilège. ★ Mes plats favoris sont les sushi et le steak tartare français. ★ J'aime l'humanité toute entière ! ★ Je souffre d'hystérie. ★ Mon pseudonyme d'informateur est G et mon symbole est une pomme. ★ Je parais fou et froid mais en réalité j'ai toujours besoin qu'on me montre son affection, je déteste la solitude. ★ Mon meilleur ami m'a raccroché au nez pas moins de 43 fois, j'ai compté. ★ Je parle un certain nombre de langue, coréen bien sûr, mais aussi japonais, anglais, espagnol, italien, français et russe. ★ Je crois aux histoire de fantômes et d'esprit, je n'aime que très moyennement aborder ce sujet. ★ Je suis un pro dans le maniement du couteau. ★ Bien que je n'ai aucun diplôme je suis tout à fait apte à pratiquer une opération, reste à savoir si vous me faites suffisamment confiance ou non. ★ Je suis du genre papa gâteau et j'assume. ★ Je suis un bisexuel refoulé. ★ Je suis dingue du chocolat et du sang. ★ Ayant toujours été entouré de femme, je m'estime comme privilégié. ★ Je suis quelqu'un de très chanceux.
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Test RP
- Spoiler:
- Citation :
- Ayant conscience que cela peut être difficile de comprendre un post sortis de son contexte tel que celui-ci je vous fais une remise en situation. Le personnage s'appelle Nanaly, ma victime préférée. Ce post vient d'un forum HP, donc il y a quelques référence au monde sorcier qui pourront faire butter les non avertis. Honêtement j'utilise rarement un style aussi 'pompeux', mais ce post me tiens particulièrement à coeur. J'étais à peu de chose près dans le même état que le perso, c'est un concentré d'émotion de déprime et de fatigue.
Sa tête tournait, incapable de se stabiliser sur le sol de sa vie, emportant son coeur dans une valse effrénée, rythmée par les tambours de son sang battant la mesure contre ses tempes. La mélodie devenait insupportable, chaque bruissement de ses robes, chaque craquement de ses os, chaque sifflement de sa respiration raisonnaient comme le glas d'un angelus joué par le diable. Son corps s'était fait l'instrument d'un démon, recouvrant toutes ses prières. Masquant l'arrivée d'un ange. Puis soudain la chaleur d'une étreinte atténua les brulures à froid de la solitude. Le doux bercement d'un être aimé qui rétablie l'équilibre perdu. Et une litanie, les tambours cesse, le monstre abandonne, enfin le silence d'un murmure empli ses oreilles. C'est Lui, il est là. Après tout ce temps... Si doux... ◉ Ne pleure plus, s'il te plait, ne pleure plus...Le temps s'arrêta, comme si il avait entendu sa demande muette, comme si il voulait leur laisser ce moment à jamais, respectueux de retrouvailles qui avaient trop tardé. Lentement, profitant de ce répit que leur avait accordé Chronos, elle leva les bras le long de ce dos. Se remémorant ces formes qu'elle n'avait fait que frôler cette fois là, dans un couloir à l'abris des regards, les apprenant par coeur à nouveau, découvrant des cicatrices plus jeunes. Elle remonte le long de sa colonne vertébrale, doucement, délicatement, comme on caresse un chat sauvage, espérant qu'il ne fuit pas. Ses paumes rencontrent les épaules carrées, resserrant leur prise sur les vêtements rêches, s'en blanchissant les jointures, s'assurant qu'il est bien là. Puis une fois rassurée, une fois sûre que ce n'est pas un rêve, elle respire son parfum, plongeant son nez sur sa jugulaire, comme un vampire affamé. Enfin.... Ses tremblements cesse, son corps reprend contenance. Elle a un sourire nerveux en pensant qu'elle n'est ni plus ni moins qu'une junkie qui est resté longtemps en manque avant d'avoir enfin sa dose alors qu'une certaine euphorie la gagne, elle est bien, vraiment bien. Là, dans ses bras. Il est devenu sa drogue. Et elle n'est pas prête d'aller se faire soigner. Mais un autre besoin se fait ressentir, celui de le voir. Alors elle le repousse doucement, s'écartant légèrement mais n'ayant pas le courage de briser les liens qui l'enserre. Le parchemin noir glisse sur le sol, emportant avec lui ses sombres pensées, elle n'y prête attention, elle n'en a pas besoin à présent. Elle l'admire, comme on admire une oeuvre d'art. Elle retrace le parcours de ses yeux avec ses doigts, de peur que le temps ne l'ai rendu aveugle, de peur que l'oubliette ne lui ai volé des souvenirs trop précieux. Son cou, humide de ses propres larmes, sa pomme d'Adam vibrant légèrement sous son pouce, la forme carrée de sa mâchoire, la douceur de ses pommettes, le tic nerveux de ses paupière, son nez droit, ses lèvres... Elle s'arrête légèrement sur la pulpe rose à laquelle elle n'a pas encore pu goûté. Pas encore, elle le sait, c'est trop tôt, même si elle en meurt d'envie. Elle ferme les yeux, chassant les larmes qui s'y cachaient encore avant de coller son front à celui de son vis à vis. Elle est fiévreuse, ce ne doit pas être agréable pour lui, mais cette fois elle se permet à nouveau d'être égoïste, car elle en a besoin. ◉ Je te cherchais. Ce n'était pas un reproche, juste une constatation. Une constatation qui sonne comme un accueil. Elle avait tant voulu le voir et enfin il se tenait devant elle. Il l'avait fui, elle le sentait, cette étreinte raisonnait comme une excuse, mais il était là à présent et c'était l'essentiel. Cependant elle ne comprenait pas... Avait-il eu peur ? Peur de quoi ? Peur de la voir dans cet état ? Voulait-il simplement tirer un trait sur elle ? Non il ne serait pas ici, l'enlaçant. Craignait-il qu'elle lui en veuille ? Cela lui ressemblait un peu plus. Elle l'avait découvert étrangement peu sûr de lui par le passé. Alors elle le rassura, caressant ses cheveux : ◉ Tu m'as manqué. Ne... Part plus. Ne me laisse plus, pas tant qu'il y aura un "toi et moi". J'ai besoin de toi. Bien plus que tu ne le crois.Elle n'avait même plus la force de rougir ou de se sentir embarrassée, elle voulait juste qu'il comprenne combien il était important pour elle. Combien elle lui faisait confiance. ◉ Je ne pleurerais plus. Alors promet moi...Elle passa ses bras autours de son coup, conservant le contact qu'il y avait au niveau de leur front, ouvrant les yeux pour plonger dans ses deux billes bleutées, on y avait enfermé du mercure, elle en voyait toutes les nuances. Sublimes. ◉ Merci. De m'avoir protégé au carnaval. Merci. Elle lui embrassa le front, lui transmettant du mieux qu'elle le pouvait toute sa gratitude par ce geste avant de reprendre sa position initiale. On m'a dit que tu avais prit le plus gros des dégâts. Je suis désolée, de ne pas avoir pu te rendre visite, je... J'ai...Comment vont tes blessures ?Mon dieu, il suffit d'un rien pour qu'elle oublie tout. Là dans ces bras, il n'y avait qu'Andras qui comptait. Qui s'ennuyait de savoir qui lui avait lancé cet oubliette, qui s'ennuyait de s'inquiété de son bannissement. Elle ne l'embarrasserait pas de ces problèmes, même si elle se doutaient que les questions viendront forcément. Pour l'instant il n'y avait plus que le mélange du jaune et du rouge en un orange chaleureux et accueillant.
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Dernière édition par Park Min Hyo le Jeu 27 Oct - 5:00, édité 13 fois |
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