Henry Shelley
| Sujet: le mâle occidental | H. Shelley Sam 26 Nov - 18:44 | |
| HENRY SHELLEY | Avatar Jason Butler Harner Nom Shelley Prénom Henry Age 41 Jour de naissance 03/10/1970 Origine ethnique Britannique ProfessionChirurgien légiste, chimiste et membre de l’Unité de Recherche du Virus 405 Groupe Eaters, of course.
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Pseudo Tabu Age 16 ans Parrainage ? Sans façon. Points forts du forum ? Un contexte alléchant, une grande variété de personnages, un joli design et un ensemble qui tient la route. L’idée du virus est absolument géniale et étant très fan de ce genre de scénario à la SF, je dis oui. Et puis j'inaugure l'entrée en jeu des européens. Points faibles du forum ? Je n'y connais absolument rien en culture coréenne et ai préféré m'en remettre à un personnage pur produit d'occident qui m'évitera ainsi quelques bourdes monumentales. J'espère que cela ne posera pas de problème. Une suggestion ? Auriez vous un guide touristique traduit du coréen ? Un dernier mot ? Je me suis permis de changer quelques cases de votre questionnaire afin de les adapter à ce personnage qui n’a ni ex petit(e)s ami(e)s, ni parents, etc… |
On fait le bilan sur ...
Ton parcours scolaire/professionnel Henry a suivi un sentier classique, très tôt ouvert aux sciences et placé dans un collège pour garçons réputé (qui, même s’il avait été mixte, n’aurait pas été plus féminin). Il se passionne pour les disciplines complexes et apprend les langues en parallèle d’un cursus de médecine. Féru d’anatomie mais peu enclin à devenir chirurgien esthétique, il s’abonne à l’âge de vingt deux ans aux Nuits Anglaises, des cours nocturnes et parfaitement illégaux distribués par un éminent spécialiste en anatomie féminine. Là, expositions de corps de victimes terrassées par le Virus 405, présentation de jeunes filles vivantes enlevées aux quatre coins du monde et étude du gène Y. Henry acquiert une connaissance peu commune pour cette époque du fonctionnement d’une femme, des choses que l’on ne jugeait plus bonne à enseigner depuis des lustres. Cette science lui permit de passer un concours organisé par l’Armée et d’intégrer l’Unité de Recherche du V405. Avec l’expérience, il s’est montré de plus en plus indispensable quoi qu’on l’écarte souvent des opérations en raison de sa brutalité naturelle. Avant d’être exilé en Corée pour poursuivre un programme chimique, il a vécu deux ans aux Etats-Unis pendant qu’un avocat travaillait à le blanchir en Angleterre dans une affaire de tentative de meurtre (il aurait soi-disant essayé d'étrangler une de ces précieuses patientes).
Ta santé La santé physique d’Henry est exceptionnelle. Ses consommations plus ou moins régulières d’extasy (pour se lever), d’amphet (pour la route) et de morphine (pour dormir) lui confèrent une vivacité artificielle. Néanmoins, lorsque l’heure est au relâchement, il exprime le besoin immédiat de se défouler les nerfs sur quelqu’un. Armé d’un instrument tel une chaussure ou un lampadaire, son agressivité se porte sur les hôtes ou des maîtresses.
Ta vie sociale Henry aime sentir qu'il contrôle la situation ce qui est loin d’être souvent le cas. Pour assouvir son désir sur au moins une créature terrestre, il a prit sous son aile une petite fille rencontrée dans un club et en a fait le défouloir de sa Nemesis. Il l'appelle sa petite fiancée. Il se montre incapable d’entretenir toute relation d’amitié. Dans la ville, il connaît quelques hôtes et hôtesses de différents clubs et s’est fidélisé à un trafiquant.
Tes hobbies Henry ne pratique aucun sport et aucune activité artistique. Il est aussi subtil qu’une enclume. En revanche il aime assister à des démonstrations théâtrales ou dansées particulièrement quand ce sont de belles créatures qui se secouent sur l’estrade.
Tes expériences amoureuses Humainement parlant, aucune. Henry dévore plus qu’il ne savoure le rapport et exige de ses partenaires une disponibilité totale. Lui-même se décrirait comme un enfant en mal d’affection mais il adore se victimiser. Ayant une fâcheuse tendance à l’excès et à la violence, la relation dite de couple ne semble pas lui être des plus favorables. C’est un consommateur extrêmement exigeant. |
Que dirait de toi ...
Un commanditaire de l’armée « Elément compétent, acharné et très passionné. Perfectionniste. Bon orateur, capable de meubler un discours et de séduire ses supérieurs pour obtenir des avances de temps ou de salaire. Rend rarement ses rapports dans les temps. Plausible de tremper dans des affaires qui pourraient entacher la réputation du Centre. Le garder à l’œil est impératif. L'Armée finance ses besoins quotidiens et judiciaires. »
Un avocat « Comme protégé par l’armée, le cas d’Henry Shelley est extrêmement agréable à traiter sur le plan financier. Défendre son cas corrompu est chose facile. Sur les sept affaires qu’il eut fallu traîner en justice à son sujet, sept non lieux furent prononcés. Sa violence intérieure crève les yeux et l’on peut craindre qu’un jour il dépasse vraiment les bornes mais à ce jour, ses compétences chimiques le sauvent. »
Un médecin psychiatre « Henry Shelley est un individu assailli d’émotions, incapable de résister au flux de sentiments qui l’entraînent. L’alcool et la drogue sont les seuls remèdes qu’il ait trouvé pour pallier à cette sensibilité excessive, associé à de réguliers accès de violence censé lui calmer les nerfs et satisfaire ses pulsions. Il souffre certainement d’un complexe d’infériorité dût à son physique peu agréable mais n’aspire pas à être aimé. Il est fasciné par la notion de rareté ce qui expliquerait son désir de graviter autour des dernières femmes du monde. Henry Shelley n’a vraisemblablement de goût pour rien, il n’aime ni sortir ni communiquer et n’entretient de relations intimes que pour atteindre quelques jouissances éphémères. Tous ses actes partent d’une pulsion, il se contrôle très peu. Une hôtesse de la PINK « Extrêmement irrégulier, peut disparaître pendant des mois. Demande généralement des filles qu’il connaît et insiste souvent pour les ramener chez lui. Prend toujours un temps pour faire connaissance et discuter. Peut se mettre à chialer comme un gosse et rester là pendant des heures à se faire juste caresser les cheveux puis envoyer une méchante droite sans prévenir et cogner sur la petitsah jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse. Il consomme évidemment, son appétit sexuel semble sans limite. Toujours un peu réticent à sortir le chéquier en fin de soirée mais la présence d’un ou deux vigiles suffisent à le faire changer d'avis, ces mêmes vigiles qui sont parfois contraints de le traîner hors de la chambre par les pieds avant qu’il n’éclate la tête d’une des précieuses gamines contre l’accoudoir du canapé. Il donne en revanche des pourboires formidables et c’est la raison pour laquelle on le laisse encore rentrer. Il a offert plusieurs bébés à la boîte, des petites qu’il trouve à son travail et qui n’ont nulle part où aller selon lui. » [Un hôte du MIDNIGHT vous ferait à peu près le même discours]
Un dealer anonyme « Shelley gobe la moitié de la marchandise sur place. On ne le voit pas souvent mais lorsqu’il arrive, il est dans un état de manque à se craquer l’élastique. C’est sans doute pour ça qu’il vient toujours chez le même fournisseur, au moins le mec sait quoi sortir du placard parce que vu l’épave, le monsieur l’est pas capable de formuler correctement sa demande. Il paye toujours cash, il discute un peu des fois. Ça arrive qu’il faille le ramener chez lui épaule sous le bras même si en général il prend le volant même s’il doit rejoindre sa voiture en rampant. Quand il dégueule, il nettoie. Ça a l’air d’un type très doux, très calme, très posé. Un rapport de confiance s’installe assez vite. » |
Les hommes et lui c'est TENDU Au lit il les aime très jeunes. Autrement il les déteste autant qu’eux le méprisent. Les femmes et lui c'est VIOLENT Henry s’attache au physique de ces jolies compagnes mais aime explorer leurs angoisses et les couvrir cyniquement de surnoms affectueux . Il aime s’endormir en broyant contre lui le petit corps palpitant d’une gamine. Il peut se montrer extrêmement doux mais c'est généralement une façade. Il les hait.
THE PINK BOX - Je suis client. THE MIDNIGHT PLEASURE - Je suis client. |
Exprime toi
- En plus d’être un bon client, les clubs de la ville l’utilisent volontiers comme transporteur de marchandises. Il fait passer les hôtes d’un point à un autre de la ville. Travaillant extrêmement près de la gente féminine, il ramène parfois quelques uns de ses cobayes dans un des dit-club après utilisation.
- Il écoute beaucoup la radio et regarde pas mal de cartoons.
- On fait souvent appel à lui pour les basses manœuvres. Au Centre, sa tâche consiste essentiellement à ouvrir et refermer des filles pas tout à fait mortes et à placer différentes capsules et machins expérimentaux dans leurs tripes chaudes.
- Son coréen est correct mais il a un terrible accent et avale souvent la fin des mots. Il rédige tous ses rapports en anglais. Il se montre de prime abord très poli, entreprenant et courtois e et joue avec le cliché du gentleman anglais.
- Il traîne avec lui une jeune fille dénommée Lucy, enlevée dans un club de Los Angeles, un coup de maître.
- Henry aime expliquer ses défaillances par un défaut de la machine qui l'a accouché. Il est en réalité né d'une femme, d'une vraie.
- Il s'est fait démonter la gueule plusieurs fois et fait curieusement tâche dans l'univers lisse et charnel des clubs asiatiques.
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Test RP
Le texte ci-dessous date du 23 octobre 2011, le personnage traité est le héros éponyme du roman de Stevenson « Docteur Jekyll et Mister Hyde » dont je décris l’installation en Transylvanie, après qu’il ait fuit Londres.
- Spoiler:
Pire que les couleurs ternes qui courraient lancinantes sur les visages des natifs et chaque élément du décor, que les poses morbides des arbres morts et l’imposante présence des maisons grises et laides, le village B puait. C’était une infection qui avait chatouillé les sens très animalisés du Docteur Jekyll. Lorsqu’il avait abordé les environs, balloté dans un carrosse minable mais très salé, il s’était senti étrangement apaisé mais ses tripes avaient commencées à faire des nœuds dès qu’il avait mit pied à terre. Des enfants étaient passés en courant derrière une roue cassée et le monstre dans sa poitrine se mit à ronronner sans cesser de lui tordre les boyaux. Le professeur V.H décrivait les environs comme décimés, du moins c’est ce qu’il avait retenu de ses très vagues lectures désintéressées. La population semblait au contraire assez dense. Van Helsing était fou, tout le monde le savait. Romancier aussi, visiblement. La boutique qu’il avait rachetée était dans un état aussi pitoyable que prévu, abandonnée depuis près de quatre ans par son propriétaire disparu. Le peuple transylvanien avait l’air au moins aussi talentueux que les londoniens pour ce qui est du ragot, en quelques jours il avala plus d’histoires assommantes qu’il n’avait put en entendre quand la chronique s’acharnait sur les petites filles de l’éventreur l’année dernière. En fait, B. lui avait plu assez vite. Il s’était même rasé la barbe.
Les mois étaient passés et l’autre avait aussi trouvé comment passer du bon temps dans un trou pareil. Ce matin, le docteur était descendu à la cave chercher un peu de cire et il avait trouvé le corps d’une enfant endormie ou évanouie, la lèvre fendue et recousue grossièrement, étendue sur le sol. Elle avait le pied retenu par une chaîne au mur. Le cri n’avait même pas pu passer la barrière de ses lèvres tant l’effroi qui le saisi était grand. Il était d’abord remonté en courant et s’était agité entre les flacons, avait allumé et éteint quatre fois le feu, mélangé ses herbes, fait un bouquet, séparé ses herbes, changé l’eau de sa Caravage de Grèce et avait tourné la plaque « FERME » devant la porte. Une part de lui ne pouvait s’empêcher d’être réjouie. Il pouvait même entendre d’ici Hyde grincer entre ses nerfs palpitants. Finalement, il ralluma une bougie et revint au sous-sol. Agenouillé, il constata qu’elle était encore en vie. Elle grelottait et n’avait visiblement pas mangé depuis des jours. Ah si, il y avait un vieux quignon imprimé d’une semelle à côté de son coude. Il ne s’attarda pas dessus mais aurait pu jurer sur tous les saints que cette empreinte était celle de sa propre chaussure. Instinctivement, il se signa et commença à scier la chaîne. Il ne souvenait pas qu’il y est eut une chaîne encastrée dans cette cave. On avait dut la faire poser. Théoriquement, il se souvenait de tous les actes de Hyde puisqu’il y assistait toujours d’une certaine façon. Mais celui-ci avait trouvé le moyen de se procurer de la morphine en grande quantité et la cachait dans la tête d’une statuette de Jekyll représentant Saint Jean Baptiste. Il en extrayait de l’opium et troublait ainsi les pistes sensorielles. Jekyll prit dans ses bras le corps mou et amorphe. Il manquait quelques mèches de cheveux à la petite et on avait peint en noir les parties chauves de son crâne. Il resta debout un moment sans savoir que faire puis il remonta et emprunta une porte à l’arrière de la boutique. Laissant la petite dans la réserve fermée à clef, il redescendit et travailla à arracher la chaîne de son mur pour ensuite la cacher dans une trappe. Il détruit totalement la pierre puis balaya quelques poils blonds et bouclés. La bête griffait ses côtes de l’intérieur et résonnait en tirant sur tous les tendons qu’elle pouvait attraper mais elle ne semblait pas prête à changer de peau maintenant. La gosse n’avait pas cillé, il la reprit et sortit de l'échoppe d'un pas vif. Hyde ne devait pas y tenir beaucoup. Sans doute l’avait-il déjà usé. Jekyll ne souhaiter pas imaginer ce qu’il faisait de plus avec « ça ». Il marcha vers la mairie en réfléchissant à toute allure. Finalement il attendit devant la porte en finalisant son discours. D’où venait cette gamine ? Il l’avait trouvé dans la forêt en allant chercher des champignons vénéneux pour une crème anti-bubon. Une cueillette qu'il avait accomplie la veille au soir. N’ayant pas les mains libres, il peinait à ouvrir la porte avec son coude.
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Dernière édition par Henry Shelley le Lun 28 Nov - 16:43, édité 2 fois |
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Byeol Matteo
AGE : 32
| Sujet: Re: le mâle occidental | H. Shelley Sam 26 Nov - 21:28 | |
| bienvenue parmis nous et bonne chance pour t'as validation ♥ puis ton personnage est vraiment intéressant :o |
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Henry Shelley
| Sujet: Re: le mâle occidental | H. Shelley Sam 26 Nov - 21:43 | |
| Merci beaucoup Matteo ! Sûr que la disparition de la femme risque d'être précipitée avec des types du genre d'Henry dans la nature. Au passage j'adore le graphisme de ton avatar. |
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| Sujet: Re: le mâle occidental | H. Shelley | |
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