Jang Micky
AGE : 31
| Sujet: i'm more than just a little baby boy ▬ jang micky Dim 6 Nov - 10:49 | |
| Jang Micky | Avatar Park Hyong Seok. Nom Jang. Prénom Micky. Age 18 ans. Jour de naissance 11 janvier 1993. Origine ethnique Coréen & Américain. Profession Hôte au midnight pleasure. Groupe Les Dishes.
-----------------------
Pseudo Mayu. Age 17 ans. Parrainage ? ▬ Points forts du forum ? Sans hésiter, le contexte. Tellement innovant et original. Points faibles du forum ? Pour le moment je n'en vois pas. Une suggestion ? ▬ Un dernier mot ? ▬ |
On fait le bilan sur ...
Ton parcours scolaire/professionnel Micky est très loin d'avoir eu le meilleur des parcours scolaires. Il a toujours été le plus mauvais élève de sa classe pour tout vous dire. Durant les cours, il n’écoutait jamais ce que le professeur disait, préférant rêvasser, dessiner ou bien écrire des petites histoires, et à la maison ne faisait jamais le travail demandé. Tout cela l’ennuyait au plus haut point et agaçait ses parents qui se demandaient ce qu’ils allaient bien pouvoir faire de lui. Ta santé Récemment, Micky a été diagnostiqué comme étant atteint de la maladie de Parkinson qu’il a fort malheureusement hérité de son très cher grand-père. Car oui, les jeunes gens sont en général touché de Parkinson par hérédité. Pour le moment, il en est au stade dit « lune de miel », le traitement qu’il suit va donc suffire à estomper les signes de la maladie pour plusieurs années. Les choses se compliqueront plus tard et pour le moment il a l'air d'un adolescent tout à fait normal. Ta vie de famille Les parents de Micky sont passés par bon nombre d’épreuves. Alors que la famille vivait en Amérique pour le travail du père, ce dernier a malheureusement été licencié, et ils sont donc retournés en Corée. Au début, ils ont pu compter sur les économies que son père avait gagné grâce à son poste haut placé, puis petit à petit, le job qu’il avait trouvé à Séoul ne suffit plus à couvrir les dépenses de la famille. Du coup, sa mère dû elle aussi se mettre à chercher un travail, ce qui s’avéra être une tâche difficile. Elle finit par devenir femme de ménage. Les fins de mois se faisaient serrés, et il fallait en plus financier les études du grand frère de Micky. Pour cette raison, Micky décida de ne pas en faire, puis il ne voyait pas l’intérêt étant donné sa maladie qui fut un nouveau coup dur pour toute la famille. Aujourd’hui, ses parents se disputent sans cesse à propos de l‘argent, de l‘éducation et d‘un tas d‘autres choses. Pour ne plus les entendre, Micky est parti de la maison afin de vivre de ses propres ailes se sentant comme un poids supplémentaire sur leurs épaules. Ton réseau d'amis Micky ne veut pas d’amis. Il évite de s’attacher aux gens ou de les laisser s’attacher à lui. Pourquoi ? Il ne veut pas qu’on s’inquiète pour lui, qu’on le couve comme un petit bébé, ou qu‘on s‘occupe de lui. Tout ça parce qu’il sait qu’il arrivera un jour ou malheureusement il ne pourra plus rien faire seul, alors pour le moment, il veut en profiter. Les rares personnes proches de lui ont pour interdiction de prononcer le mot « maladie ». Tes expériences amoureuses Là encore, Micky fait de son mieux pour ne pas tomber amoureux et que personne ne tombe amoureux de lui. Il ne veut pas que cette personne finisse par se sentir obligée de rester à ses côtés juste parce qu’il est malade, et que, c’est bien connu, on n’abandonne pas quelqu’un de malade, on reste à son chevet jusqu’à sa mort. Non, il ne veut pas emprisonné quelqu’un. |
Que dirait de toi ...
Un ami proche “ Il est étrange, mais on s’y fait et finalement on l’aime comme ça. Il est assez calme, mais surtout tout le temps sur la défensive, quand il ouvre la bouche c‘est pour vous agresser, du coup quand on le connait pas trop on s’imagine qu’il est méchant gratuitement. C’est juste qu’il se méfie et qu’il instaure toujours une distance dans ses relations avec les autres. Parce qu’il faut savoir que Micky ne parle jamais de ce qui le tracasse, de sa maladie ou encore de ses sentiments. Lorsqu’il le fait, vous avez intérêt à bien tendre l’oreille, parce que c’est que vous êtes vraiment privilégié. Dans les rares moments où il est serein, c’est un amour. Un véritable chaton qui, je pense, est en manque d’affection. Alors quand il me laisse le droit de le faire, j’en profite pour lui donner tout ce que j’ai et le serrer dans mes bras durant des heures. Il faut qu’il arrête de croire qu’il est seul. ” Un ex petit ami “ C’est un garçon bien, et je le pense vraiment, même si je n’ai jamais compris pourquoi nous avons rompu. Tout se passait pourtant très bien entre nous. On sortait souvent, on riait beaucoup. Du jour au lendemain, il m’a quitté et juste avec un petit sms qui ne contenait qu’une phrase. Je n’ai pas eu d’explication. Néanmoins, j’ai toujours senti qu’il me cachait quelque chose lorsque nous étions ensemble, peut être que c’est pour cette raison ? ” Un ennemi “ Il m’agace. J’ai l’impression qu’il se croit supérieur alors que bien évidemment, il ne l’est pas. C’est juste un sale gosse beaucoup trop insolant. Il se permet toutes sortes de remarques alors qu’en un coup de vent il s’écroulerait. Ce n’est qu’un gringalet prétentieux. ” Tes parents “ Nous avons du mal à nous faire à son absence. C’est difficile de ne pas s’inquiéter pour lui, il est encore si jeune et surtout si fragile. C'est un petit garçon extrêmement sensible, même si il ne le montre pas. Nous aurions préféré le garder sous notre toit, afin de veiller sur lui. Néanmoins, nous comprenons son choix. Il ne devait plus supporter nos disputes, et sans doute que nous l’étouffions à vouloir le protéger de tout. Il profitera bien mieux de la vie si il ne nous a pas sans cesse sur le dos. Car il doit en profiter car il sait que ses jours sont comptés et surement que c’est pour cela qu’il a besoin de s’épanouir. Dommage qu'il se sente obligé d'être loin de nous pour ça. ” Un inconnu “ Il est bizarre ce petit mec. Il se balade toujours tout seul. Genre, on dirait un orphelin. Nan sans rire, il a des parents ? Parce que bon, il doit avoir quinze à tout casser non ? J’sais pas, mais il a le regard bien vide en tout cas, il a l’air perdu. Faudrait p’t’être l’aider ? ” |
Les hommes & toi c'est le pire pêché. Micky ne sait pas comment cela se fait, mais depuis qu'il a goûté au plaisir charnel, il ne s'arrête plus. Un peu nympho sur les bords le petit. En fait c'est qu'il a l'impression de se sentir en vie lorsqu'il a des rapports sexuels et surtout, dans les bras musclé d'un homme il se croit protégé voir aimé l'espace d'un court instant. Les femmes & toi c'est compliqué. La tendance qu'elles ont à le prendre pour un bébé l'énerve réellement. THE PINK BOX - Je ne fréquente pas cet endroit. THE MIDNIGHT PLEASURE - Je suis employé. |
Exprime toi
♣ Parce qu'il sait qu'un jour il ne pourra plus rien faire de sa vie, Micky en profite pour tout essayer. Les drogues, l'alcool, la cigarette, les sports extrêmes, il veut avoir expérimenté le plus de choses possibles. Si ses parents l'apprenaient, ils auraient une sacré crise cardiaque. ♣ Il s'est retrouvé à travailler au Midnight Club, d'abord parce qu'il avait grandement besoin d'argent. Il était à ce moment là très loin de s'imaginer que cela allait autant lui plaire. En effet, il est en quelque sorte devenu totalement accro au plaisir charnel et les clients sont à chaque fois étonnés qu'une bouille pareille soit capable d'autant de choses une fois sous les draps. Son air innocent attire et séduit. ♣ Il est tatoué dans la nuque et sur le torse, un autre petit détail qui surprend en général les clients du club. |
Test RP
- Spoiler:
Lorsque l’on a connu l’amour que dans les livres, il est difficile de le reconnaître dans la réalité. On a l’habitude des tournures qui sont toujours les mêmes et qui décrivent de façon presque identique les sentiments, on sait qu’on peut ressentir des papillons, qu’on a la gorge nouée, un trop plein d’excitation et beaucoup de bonheur dans le cœur. Cette chaleur est sensée nous envahir, être rassurante, enlever nos peurs et nos doutes. Alors, quand ça arrive pour la première fois, ce n’est pas forcément évident de faire le lien. Toutes ces sensations étaient bien évidemment nouvelles pour Gabriel, mais il ne savait pas exactement d’où elles venaient. De son cœur qui battait trop vite peut être ? Mais est-ce qu’il battait parce qu’il aimait Ilyah et qu’il avait peur de le perdre ? Ou juste parce qu’il avait peur de lui tout court ? Finalement, même si il n’était pas un vampire, ne serait-il tout de même pas effrayé par Ilyah et tout ce qu’il représente pour lui ? Car ce beau blond ne se doutait probablement pas qu’il était en passe de devenir l’une des personnes les plus importantes aux yeux du belka. Quoique voilà longtemps qu’il l’était en vérité, seulement, Gabriel l’avait presque oublié. Mais seulement presque hein. Parce qu’à chaque fois qu’il avait pensé à lui, cette vérité s’imposait à son esprit. Ilyah, plus que d’être tout ce qu’il craignait, était aussi tout ce qu’il désirait. Il voulait apprendre de lui, découvrir avec et grâce à lui ce qu’était l’amour. Car c’était bien ce qu’il y avait entre eux. Et c’était cette importance qui le rendait terrifiant. Parce qu’à lui offrir son cœur sur un plateau de la sorte, il prenait le risque de se faire rouler dans la farine une seconde fois. Cela valait-il le coup ? Ce qu’il pouvait découvrir en s’ouvrant totalement était-ce effectivement aussi beau que dans les livres ? Gabriel voulait la preuve que tout allait bien se passer, qu’Ilyah était sincère dans ce qu’il disait, qu’il ne voulait pas juste lui voler son innocence, le mordre ou jouer. Parce que Gabriel n’avait pas trouvé très marrant de le voir avec un autre. Rien n’avait été promis, pourtant, dans le non-dit qu’il y avait eu entre eux, il avait cru comprendre qu’ils s’appartenaient, même un peu. Quelle déception lorsqu’il avait remarqué qu’il avait été le seul à croire en cette promesse non-avouée. Alors il attendait, en soutenant le regard d’Ilyah. Il n’aurait jamais osé faire ça en temps normale mais la peur d’être blessé était si présente, qu’une petite voix dans sa tête lui donnait le courage d’affronter ses craintes, et de demander les justifications qu’il n’aurait jamais demandé il y a de ça deux ans, trop occupé à ignorer ses sentiments amoureux qu’il ne pouvait décidemment plus se cacher à lui-même. « J'ai l'impression que tu ne te rends compte de rien.. Dis-moi, est-ce que quand nos regards se croisent tu as cette explosion dans le ventre ? Est-ce que lorsque ta peau est en contact avec la mienne du feu se répands dans tout ton corps ? Est-ce que lorsque tes lèvres touchent les miennes tu as l'impression de perdre pieds ? Non, parce que moi, c'est l'effet que tu me fais ... » Les paroles d’Ilyah le firent rougir. La façon qu’il avait de décrire la chose le gênait. Parce que lui, jamais il ne pourrait poser des mots sur ce qu’il ressentait lorsqu’Ilyah l’embrassait. Il ne pouvait le comparer à rien, si ce n’est au baiser d’Isaac, et malheureusement, les deux se ressemblaient assez. Mais il n’aimait pas Isaac pas vrai ? Oui, enfin, Isaac, c’était autre chose, quelque chose de bien plus compliqué que l’amour et à laquelle il souhaitait éviter de penser. « … Et je serais capable de me tuer parce que je sais que je t'aime plus que j'aime mon propre reflet. Tu crois qu'il y a six mois j'aurai pu dire ça ? Je suis amoureux de toi et c'est seulement quand je fini par te perdre que je m'en rends vraiment compte … » On rembobine, venait-il d’entendre un je t’aime ? Ilyah venait-il de lui dire qu’il était amoureux de lui ? Sans vraiment le vouloir, il écarquilla les yeux, alors que les battements de son cœur devenaient plus douloureux comme si il voulait s’échapper de sa cage thoracique. Cette déclaration le fit baisser les yeux. Il ne pouvait plus soutenir le regard du giena. Il en venait même à culpabiliser d’avoir douté des sentiments de ce dernier à son égard. Alors c’était ainsi, il tenait vraiment à lui ? Pauvre adolescent peureux. Il n’avait pourtant rien d’extraordinaire. « Alors, oui, je peux te prouver tout l'amour que j'ai pour toi, avec des mots, des gestes, je ferais tout ce que tu veux pourvu que tu me reviennes. Sans toi, je ne sais plus ou j'en suis. Et je crois que je vais me perdre un peu plus si je te perds à nouveau... » Pourquoi est-ce qu’Ilyah aurait besoin de lui ? Qui pourrait avoir besoin d’une personne aussi peureuse que lui ? Il ne pourrait même pas le protéger, le rassurer convenablement ou lui apporter quoique ce soit de bénéfique, de supplémentaire pour le rendre plus heureux. Il n’était même pas sur de pouvoir rendre heureux Ilyah. Comment on fait pour rendre heureux quelqu’un que l’on aime ? Ou plus exactement, comment on fait pour aimer ? « M-mais Ilyah, et si je n’étais pas assez bien pour toi ? J-je veux dire, tu trouveras peut être mieux non, et alors tu m-me laisseras non ? Ce qui serait n-normal. Je suis pas .. Enfin tu vois. » Non Gabriel, comment voulais-tu qu’il voit l’image que tu as de toi ? Celle d’un jeune perdu, peureux, capricieux, sans réelle qualité donc. D’ailleurs, d’où venait cette perception alors que la plupart le trouvait mignon, adorable même et était surtout fasciné par sa pureté ainsi que l’innocence dont il faisait encore preuve à son âge. « Je ne veux plus vivre avec ton absence, je veux que tu sois là avec moi. » Gabriel eut un sourire en coin, avant d’oser le regarder à nouveau dans les yeux. Lui non plus, il ne voulait plus être loin de lui. Même si cela voulait dire faire des efforts monstrueux pour calmer sa peur, pour la cacher. Même si il n’aimait pas les vampires. Il y a bien une exception qui confirme la règle. Pourquoi Ilyah ne serait-il pas cette exception ? Peut être qu’il sera son gentil vampire, celui qui ne le blessera pas, ne le mordra pas. Peut être bien, qui sait. On ne peut pas prévoir les choses. Gabriel voulait croire en cette perspective, il voulait croire qu’Ilyah saura être celui qui ne lui fera aucun mal, qui le protègera, l’aimera. Il avait envie de s’imaginer dans ses bras, de lui tenir la main, comme les couples qu’il avait pu voir à la télé ou découvrir dans les lignes de longs romans. Peut être qu’il était temps qu’il s’ouvre à tout ça. Peut être qu’Ilyah pouvait être son guide.
« Aide moi, dis-moi ce que je dois faire pour que tu sois à moi et rien qu'à moi. Tu le sais très bien que je te veux, mais ce n'est pas suffisant je le sais. Aide moi, je veux continuer à me battre pour toi ! » Et encore ces paroles qui brulent le cœur, mais mince, pourquoi ne pouvait-il pas les remettre en doute ? Faire comme on lui avait appris, se méfier. Parce que c’était Ilyah ? Mais justement, si c’était Ilyah, le sachant capable du pire, pourquoi n’arrivait-il pas à le repousser. Pourquoi ces mots venaient-ils de lui arracher un sourire d’ange ? «Tu te bats bien, je t‘assure.» Souffla-t-il sur ses lèvres alors que leurs visages s’étaient à nouveau approchés. Qu’il l’embrasse bon sang, Gabriel en crevait d’envie. C’était tellement nouveau pour lui, et il trouvait ça tellement agréable. Ça n’avait rien avoir avec le baiser volé -bien qu’il ait tout autant apprécié-, c’était différent, et tout simplement grisant. Quelle torture. Gabriel fit même la moue lorsqu’Ilyah dévia sa trajectoire jusqu’à son oreille. « Alors, qu'est-ce que tu ressens quand tes lèvres touchent les miennes, quand ta langue caresse la mienne ? » Des paroles trop étranges à l’oreille du jeune homme. Bien qu’étrange ne soit pas le mot. Aguichantes ? Peut être bien, chaque mot l’avait fait frissonné. On ne frissonne pas pour quelques mots même si lorsqu’ils sont chuchotés de façon aussi sensuelle à l’oreille cela devient compliqué de se retenir. C’était décidemment beaucoup en une seule fois pour le belka. Lui qui n’avait que vaguement expérimenté le désir avec Isaac, ressentait presque l’équivalent pendant qu’Ilyah jouait avec le lobe de son oreille. D’ailleurs, un long soupir s’échappa de ses lèvres. Ses mains s’étaient accrochés plus fermement aux hanches du plus âgé, signe qui à l’opposé de son soupir, signifiait que cela devenait trop pour lui, que ce contact physique l’impressionnait. Gabriel, plus que d’avoir peur de l’amour, avait peur de ce que l’amour engendrait souvent. À savoir des relations plus poussées, des relations sexuelles comme on dit. Cette crainte vient souvent d’un complexe d’infériorité, complexe que Gabriel avait. Dans sa tête, il n’était pas beau, et en agissant de la sorte, Ilyah le lui rappelait. Comme quelqu’un d’aussi magnifique qu’Ilyah pouvait vouloir toucher quelqu’un comme lui ? Oui, quel étrange petit garçon. Pourtant il ne dit rien, se contentant de tout ravaler. « Je ne toucherais plus tes lèvres, non, pas avant que tu m'ouvres ton coeur. » Gabriel, encore sous le coup de trop d’émotions différentes, repoussa très légèrement Ilyah, rétablissant une distance légèrement plus raisonnable entre eux. Surtout qu’un groupe d’élèves était en train de passer par le couloir. D’ailleurs, cela le fit rougir jusqu’aux oreilles. Mais visiblement, Ilyah attendait tout de même une réponse de lui. Voulait-il le même genre de déclaration qu’il lui avait faite ? Si oui, était-il au courant qu’il lui en demandait beaucoup ? Et étrangement, les lieux se retrouvaient soudainement bondés de gens. Des vampires pour la plupart, normal étant donné l’heure. « Bah alors Gaby encore des soucis avec un vampire ? Tu les attires tous ou bien ? » Il n’en fallut pas plus pour le mettre encore plus dans l’embarras. Alors il baissa la tête. Comme si il ne risquait pas d’avoir assez d’ennuis si Ilyah apprenait ce qui se passait avec Isaac. Par pitié, faites que cela n’arrive jamais jusqu’à ses oreilles. Puis surtout, faites qu’Ilyah ne prenne pas la peine de relever ceci et de s’en prendre comme il l’avait fait précédemment au jeune homme parce que pour être honnête, Gabriel avait appris à faire avec ce genre de remarques alors il s’en fichait. Surtout que ce qui comptait là, c’était eux deux non ? « Ilyah j-je .. » Premier essai pour ouvrir son cœur. Echec. « J-je .. » Deuxième essai. Encore pire. En fait, il avait l’impression que tout le monde les dévisageait, alors que finalement, à part l’idiot d’avant, personne ne s’intéresser très spécialement à eux. Alors il attrapa la main d’Ilyah, la posant à l’endroit de son cœur, le laissant évaluer lui-même l’effet qu’il lui faisait. Cet aveu muet était tout ce qu’il pouvait lui offrir ici, alors il releva timidement ses yeux vers son visage, un fin sourire sur sa bouche
|
Dernière édition par Jang Micky le Dim 6 Nov - 15:14, édité 13 fois |
|